Le Salon des Créatures Insolentes
À l’écart des regards trop sérieux, The Fantastic Common Room s’anime dans un capharnaüm de magie espiègle et de créatures déjantées. Parfait pour les rêveurs à l’imagination débridée et les collectionneurs de bizarreries enchantées, ce book nook est une porte vers un univers où le merveilleux a décidé de ne jamais grandir.
Ce qu'il faut savoir
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8H
307 pcs
11x18x23 cm
★★★
La Salle Commune des Animaux Fantastiques n’apparaît qu’à ceux qui savent persévérer (ou qui ont beaucoup de chance). Elle abrite dix créatures magiques rares, chacune avec son petit caractère bien trempé et une histoire plus ou moins crédible à raconter. Ici, vous pouvez tenter de jouer avec elles (si elles daignent vous remarquer), apprendre les secrets les mieux gardés de la magie des plantes, et même découvrir la vie mouvementée d’un vieux mage célèbre (et légèrement excentrique)
La bête du placard
Tapie derrière le placard à snacks, la Bête du Placard attend son moment. Indifférente, impitoyable… et toujours à l’affût. Dès que vous tentez de chiper une friandise, bam ! Elle vous avale tout rond. Rassurez-vous : elle ne peut pas vous digérer — elle vous embarque simplement pour un petit tour dans son estomac magique. Le hic ? Vous en ressortez sans aucun souvenir. Le plus étrange, c’est que tous ceux qui y sont passés racontent que c’était une expérience incroyable… et qu’ils ont hâte d’y retourner !
Quel étrange visiteur traverse le portail dimensionnel ? C’est la Bête Cupide…
Dans les courbes insaisissables du portail où le temps et l’espace se tordent en silence, surgit une silhouette inattendue : un petit canard, à l’allure presque trop parfaite pour être honnête. Il flotte dans l’air comme un rêve éveillé, mais son regard luit d’une étrange lueur. Car sous cette apparence douce se cache un maître du déguisement : le redouté voleur de joyaux surnommé le Dévoreur d’Or. Dans les replis de son ventre, il dissimule pierres précieuses et trésors oubliés, accumulés au fil de ses escapades à travers les mondes. Chaque battement de ses ailes raconte une légende, chaque détour du portail ajoute un chapitre à sa folle épopée. Un canard ? Non. Une énigme. Un mythe. Une aventure à lui seul.
Immobile devant le portail dimensionnel, le Grand-Père Lanterne veille, silhouette discrète et silencieuse. Nul ne sait depuis combien de temps il est là — certains prétendent qu’il fait corps avec le lieu, comme une énigme figée dans le temps. On raconte qu’il aime le vin, peut-être un peu trop, et que son esprit toujours un brin brumeux recèle la clé du portail. D’après les rumeurs, si vous lui offrez suffisamment à boire, il pourrait exaucer votre vœu… ou même, dans un moment d’égarement bien arrosé, vous confier la clé. Est-ce vrai ? Difficile à dire. Mais après tout… qui ne tenterait pas sa chance ?
