Silence sur la voie… un crime vient d’avoir lieu
Le 27 octobre 1934, en pleine tempête de neige, un incident majeur secoue le légendaire train reliant Paris à la Pologne. À bord, dans le silence feutré des wagons, un crime se prépare… ou vient d’avoir lieu.
Un cadeau taillé pour les esprits affûtés, les amateurs de dossiers non classés et d’enquêtes qui ne prennent pas le train de la facilité
Ce qu'il faut savoir
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20H
338 pcs
11x18x23 cm
★★★★
Par une froide nuit d’hiver en 1934, l’Express No. 221 en route vers la Pologne devient le théâtre d’un meurtre mystérieux. Un homme roux est retrouvé mort, et parmi les passagers — un détective britannique, une femme flamboyante, un majordome, un vieil homme énigmatique et un vétéran amer — chacun semble dissimuler un lourd secret. Tandis que le train poursuit sa course, les mensonges se dévoilent peu à peu, tissant une toile d’émotions, de trahisons et de vengeance
Un cri déchire le silence
Ce soir-là, le steward demanda au conducteur d’apporter le dîner à la chambre B221. Traversant les luxueuses voitures du train avec précaution, le conducteur transportait le repas soigneusement préparé. Arrivé devant la porte, il remarqua qu’elle était entrouverte, laissant échapper une étrange sensation… presque inquiétante. Au sol, des taches de vin : sans doute un oubli du majordome, pensa-t-il. Il frappa doucement, mais aucune réponse ne vint. Inquiet, il poussa lentement la porte, juste assez pour voir l’intérieur. C’est alors que, dans une fraction de seconde, un cri fendit le silence du compartiment, glaçant le sang de ceux qui se trouvaient encore à bord.
La scène de crime
La pièce n’était autre que le compartiment du défunt. Le lit, orienté vers l’extérieur du wagon, attirait immédiatement l’attention. Posés dessus : un révolver délicatement ouvragé et une dague courte, tous deux sans traces apparentes d’utilisation directe. Étrangement, aucune blessure par balle n’était visible sur le corps, mais trois impacts nets marquaient le drap, comme si les projectiles s’étaient figés dans le vide. Le sang, lui, semblait plutôt provenir de profondes plaies infligées par la lame. Autre détail troublant : le désordre ambiant contrastait avec l’étrange ordre sous le lit, où reposaient soigneusement une paire de chaussures en cuir bien alignée et une petite boîte en bois finement sculptée. Tout cela semblait mis en scène… ou laissé là pour brouiller les pistes.
Qui est le meurtrier ?
Le détective Rose a rassemblé les suspects dans une même pièce pour faire éclater la vérité. Qui est le meurtrier ?
